samedi 29 novembre 2014
mercredi 26 novembre 2014
Traces dans la cour...par temps de pluie
Baleine rouge |
Miettes d'automne |
éclosion de l’œuf |
Tchou Tchou |
Cygne prés de la mare |
Sous-marin |
éclats d'étoiles |
Le repas de l’araignée |
Arc-en-Terre |
Volcan de couleurs |
Jaillissement |
Le soleil vu du ciel |
Virevolte |
Attraction |
Mandala |
Tornade |
Dédales |
lundi 24 novembre 2014
Le rêve bleu
Elle est toujours là
La femme du désert
A pleurer de ses larmes
son homme bleu
jusqu'à l'ensablement
A l'attendre
Son rêve bleu
A espérer qu'un jour il foule encore de ses pieds,
son désert à elle.
A y croire encore et encore
Jusqu'à la folie dévastatrice
Jusqu'à la déraison
Jusqu'à la dernière des chamelles
Jusqu'à sa mort.
La femme du désert
A pleurer de ses larmes
son homme bleu
jusqu'à l'ensablement
A l'attendre
Son rêve bleu
A espérer qu'un jour il foule encore de ses pieds,
son désert à elle.
A y croire encore et encore
Jusqu'à la folie dévastatrice
Jusqu'à la déraison
Jusqu'à la dernière des chamelles
Jusqu'à sa mort.
Elle l''attend,
sous la tente,
Tous les jours,
elle maquille son visage
Enduit son corps de parfums
Se regarde dans l'eau et y voit son reflet
Les eaux tarissent et le temps passe
Mais rien n'y fait
Les femmes du désert sont têtues,
butées.
sous la tente,
Tous les jours,
elle maquille son visage
Enduit son corps de parfums
Se regarde dans l'eau et y voit son reflet
Les eaux tarissent et le temps passe
Mais rien n'y fait
Les femmes du désert sont têtues,
butées.
Son ombre la poursuit
Lui colle à la peau
L'épouse
Son ombre l'habille ,
tous les matins
La déshabille,
tous les soirs
Sans reposLui colle à la peau
L'épouse
Son ombre l'habille ,
tous les matins
La déshabille,
tous les soirs
Elle est là.
Elle attend
Son rêve bleu.
Poème écrit par Lynda, l'amie poète d'après ce portrait/ Pastels secs
lundi 10 novembre 2014
LE VOILE DE LA MARIÉE (Haïbun* sur l'automne)
L’automne a dessiné ses formes, ses
couleurs, ses parfums.
Sur le chemin, ses pas se sont posés.
Il guide un silence matinal vers sa
terre nourricière.
L’oiseau timide frétille sur une branche
dénudée.
Le ciel incolore
Brouille les rêves
De la nuit
De la fenêtre
Le corps flotte
Les images se diluent
La main dehors
Les doigts s'étirent
Le corps transporte avec lui la saison
passée.
Pourtant il est là, dans l’entre-deux
d’un cycle, se préparant à accueillir les germes du futur.
Dormance en latence.
Entre les
arbres
Épaisseur du jour
L’automne tisse son voile dans une
épaisse vapeur d’eau qui flotte.
Un nuage s'est posé
sur la Cime de l'arbre
Voile de la mariée
En quelques secondes
Dissolution de l’espace
Vision
éphémère
Dans le silence feutré, les alliances
s’échangent. La brume efface, la brume nettoie, la brume enlace, la brume marie
les saisons dans l’anonymat de ses gouttes opaques.
Brouillard de sons
Sur la branche invisible
L’oiseau s’est tu
La laine sur le dos
Les fibres au chaud
Le brouillard se coud
Naissance
matinale
D’une
liaison
Passation de
saisons
*Haïbun : Genre littéraire mixte mariant prose et Haïku
mercredi 5 novembre 2014
samedi 1 novembre 2014
Mandala de la Nature
Bouquet de la mariée |
Pic Pic |
Danse du pistil |
terre de Lune |
Hélice |
les z'ans |
Pomme de pin habillé |
Pomme de pin 'up |
Soleil piquant |
Je t'aime, un peu, à la folie.... |
Tentacules |
Un deux trois....soleil! |
Étoiles de la mariée |
Nébuleuse du jour |
Petit escargot porte sur son dos.... |
L'entrée |
Éventails |
Bulles de pétales |
Pamplemousse du soir |
J'aime pas poireauter et toi? |
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